Qui sommes-nous ?

Association reconnue d’Intérêt Général, 22 rue Edouard Branly 41100 VENDOME
tél-répondeur : 06 67 97 16 19


L’AVPE est une association d’intérêt général. Vouée depuis des décennies à une action locale en faveur des enfants, elle s’est vue confrontée de plus en plus à des situations très cruelles. De nombreuses familles font appel à l’AVPE et témoignent de souffrances d’enfants pour lesquelles les institutions ne semblent pas toujours apporter la réponse humaine et de bon sens. Les lois et les pratiques des institutions qui les appliquent entrainent parfois des dysfonctionnements dont les médias se font quotidiennement l’écho.

Comment admettre qu’un enfant équilibré ou connaissant une « résilience » (une réparation après avoir subi de graves sévices ) soit retiré au milieu favorable qui le construit ou le reconstruit pour être replacé dans un univers indifférent voire hostile, violent ou criminogène? Il n’est point de bonne raison pour justifier une telle décision. Comment admettre qu’un enfant heureux bien traité soit retiré au parent bien-traitant pour être remis à un parent violent, ou placé dans un foyer ou une famille d’accueil La France est au 17ème rang des pays développés (sur 21) dans le classement rendu public par l’OCDE. Elle est même au 19ème rang en ce qui concerne le bien-être subjectif des enfants soumis à l’enquête Innocenti.

Outreau aura mis en lumière bien des dysfonctionnements de la justice et des services sociaux. Le législateur n’en a pas encore tiré de conséquences. La prise de conscience s’amplifie …
L’AVPE PROTECTION DE L’ENFANCE est une association libre. Nous n’avons fait allégeance à personne. Notre prise de parole se veut courtoise mais sans concessions. Tout ce que nous apportons comme information est toujours scrupuleusement vérifié. Il y va de la crédibilité de notre action et de nos démarches.

Libres, nous sommes heureux néanmoins de recevoir le soutien de nombreux citoyens, d’institutionnels influents, d’autres associations qui œuvrent aussi pour soulager la détresse matérielle ou morale. Il va de soi que nous soutenons toutes les associations qui sont animées du même idéal et avec lesquelles nous aspirons à construire un partenariat de poids. L’union demeure une priorité devant l’ampleur de la tâche à accomplir. « Nous ne sommes pas au bout de nos peines » : tel est le constat de tous ceux qui sont confrontés au problème de la souffrance d’enfants.


Imprimer